ATELIERS

Comment bien alimenter son cerveau?

Je participe à des conférences, mène mes propres webinaires et me joins à des formations sur différents sujets. 

Mes interventions de prédilection portent sur les trois thèmes suivant :

Sucre et dépendance

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1) LE SUCRE ET LA DEPENDANCE.

 

Le sucre, drogue reconnue, comme plus puissante que la cocaïne, il active le mécanisme de récompense. Le corps vous remercie et libère la substance du plaisir. Qui se retrouve également dans le sport, l’acte sexuel, la méditation … Aujourd’hui nous sommes tous dépendants de quelque chose: le téléphone, le relationnel, la dépendance affective, le tabac, l’alcool… 

L’alimentation est le premier carburant qui nous fait avancer dans la vie. Nous avons besoin de cet apport journalier et nous le trouvons dans les supermarchés, nos potagers, les épiceries bio, les marchés. Ce carburant doit se consommer de façon intelligente et devient une obligation de chasser le sucre caché à notre insu, aussi bien dans les aliments sucrés que salés . 

Les supermarchés débordent de rayons de sucre artificiel. Les marques jouent sur la « déculpabilisation » : mangez allégé, vous grossirez moins. Qui favorise une boisson « zéro », un produit 0%, un produit allégé ? 

Pensez-vous que le placebo est meilleur remède contre la culpabilité ?

Je site : « mangez du sucre artificiel ou sans calories, et vous serez dépendants 3 fois plus. » Vous en voudrez toujours plus et vous vous auto-favoriserez un sentiment de culpabilité. Le fait d’injecter du sucre dans tout ce que l’on mange a une conséquence. Nos décisions, nos comportements se modifient. 

Qu’est-ce que je fais de bien aujourd’hui, que puis-je améliorer par rapport à ma consommation de sucre quotidien? 

Cette conférence a pour objectif de mettre en avant l’action du sucre sur le cerveau, à vous faire comprendre de quelle manière il nous rend dépendant et les conséquences qu’il a sur notre quotidien, notre santé, la manière dont on se voit et comment on agit. Il s’est immiscé dans notre quotidien et, surtout, quelles sont les actions à mettre en place pour venir à bout de la plus grande dépendance de ce monde moderne ? 

 

La beauté et la perte de poids

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2) LA PERTE DE POIDS ET L’IMAGE DE SOI.

 

 

Que voyez-vous dans votre miroir ? Quel regard portez-vous sur vous-même ? Quand vous voyez une personne pour la première fois, est-ce que vous jugez son aspect ou sa beauté intérieure ? 

Première impression, société de consommation. La première valeur reste l’aspect, la présentation et, elle est d’autant plus importante dans les métiers qui impliquent du relationnel. 

Qu’est-ce qui motive les gens à perdre du poids ponctuellement : pour un mariage, pour l’été, conquérir une nouvelle relation, etc… On  trouve des prétextes, des excuses, mais à aucun moment on le fait en premier pour soi. 

L’impulsion vient de l’extérieur. Nous avons créé des habitudes – voire des automatismes, on répète des schémas que nous avons appris depuis tout petit, sans forcément s’en rendre compte. 

Choisir ce sujet de conférence vous permettra de comprendre comment modifier son intention, déjouer les mécanismes et les engrenages d’habitudes que le cerveau  créé inconsciemment. 

Quelque part, nous allons chercher à l’extérieur ce que nous avons l’impression d’avoir besoin, du réconfort, un gâteau, de l’attention. 

Lorsqu’on conscientise la raison de ce besoin, nous devenons le gâteau, nous nous suffisons à nous-même et nous retrouvons l’équilibre, l’harmonie que nous avions perdus

Le corps est l’expression des pensées. On dit souvent qu’une personne qui est très stressée va prendre du poids ou, à l’inverse, en perdre de manière très prononcée. Le corps emmagasine l’émotion et garde en mémoire car il a besoin de se protéger.

 

 

Le stress et le lâcher-prise

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3) LE STRESS ET LE COMPORTEMMENT.

 

Le  cerceau est un organe, il remplit une fonction bien particulière dans notre organisme : il est notre ordinateur de bord.

Il peut être vu comme une boîte dans laquelle nous décidons de ranger nos connaissances. Nous y stockons nos habitudes, nos expériences, nos apprentissages. Notre comportement en découle et nos actions, nos pensées en sont les conséquences. Nous pouvons dire que la pensée est le langage du cerveau et l’émotion celle du corps. Le monde moderne nous implique à vivre en mode survie. Nous anticipons, nous subissons différents types de stress. Il est la traduction d’un déséquilibre entre le corps et le cerveau.

Qu’est-ce qui fait que l’on en est là aujourd’hui ? Quelles pensées sont à l’origine de notre comportement et qui, à force de répétition, devient une habitude.

 

Qui ne stress pas aujourd’hui? Le stress, est omni-présent et permanent. Nous courons après le temps pour réussir à remplir tous les objectifs de la journée, mener à bien nos rituels, répondre aux impératifs, affronter le quotidien. Lorsque notre énergie nous fait défaut, on essaie de compenser: se coucher un peu plus tôt, boire un (puis dix) café(s), prendre des vitamines ou des compléments alimentaires. Cela fonctionne, quelques temps.

Il faut savoir qu’il existe trois catégories de stress :

– physique (blessure, accident, maladie),
– chimique (alimentation, excitant, pesticide, virus)
– émotionnel (information négative ou positive, média, embouteillage, relationnel)

Pourquoi avons-nous besoin d’avoir, de prendre « toujours plus »? D’emmagasiner plus d’argent, plus d’attention, plus de confort,  plus de temps… 

Le monde moderne nous a projetés dans un mode de « survie ». Nous nous devons d’anticiper, de planifier. Nous subissons et devons vivre avec le stress car nous cherchons à remplir notre intérieur de tout ce que nous trouvons à l’extérieur. Alors, à quel moment se crée le vide? A quel moment le corps se manifeste t-il? Quels sont ou ont été les messages de celui-ci? Où sont nos véritables besoins? 

Le mode « pilote automatique » a fonctionné des années et la machine commence à s’enrayer, le cerveau pédale puis la chaîne se casse. La sensation de contrôle se perd peu à peu et le lâcher prise devient vital. 

Il permet de mettre de la conscience dans nos actions, notre manière de penser. Il nous ancre dans le moment présent. 

Il m’a fallu 15 ans pour comprendre le véritable sens du mot “lâcher-prise” et de comprendre ses bienfaits, notamment sur la gestion du stress, le retour à l’harmonie et à l’équilibre.